Tahi, une terre d’abondance

Tout au nord de la Nouvelle-Zélande se trouve une terre sauvage et reculée au climat chaud subtropical. Tahi nous raconte l’histoire de forêts reboisées, de zones humides restaurées et d’une faune locale repeuplée. Son nom, qui signifie « premier » ou « un », s’inspire de celui donné à cette terre par les Māoris : Ohuatahi, ou « premier lieu d’abondance ».

Aujourd’hui, Tahi est une réserve naturelle et écologique qui produit des miels 100 % naturels, écoresponsables et de qualité supérieure. Extrait et emballé dans nos usines, notre miel est intégralement traçable et respectueux de la planète, et présente un bilan carbone négatif. Ainsi, vous bénéficiez d’un produit pur, naturel et performant.

‘‘To restore stability to our planet, we must restore its biodiversity, the very thing we have removed.”

Le pouvoir transformateur de la biodiversité

À Tahi, nous sommes guidés par notre mission. Nous adoptons une méthodologie stratégique et fondée sur la science pour restaurer les écosystèmes. Depuis deux décennies, nous avons ainsi favorisé la biodiversité tout en maximisant l’absorption du carbone. Nous entendons continuer à élargir notre impact positif et durable sur le bien-être de notre planète et de ses habitants, en réinvestissant 100 % des bénéfices liés aux ventes de notre miel dans nos projets communautaires et de restauration en Nouvelle-Zélande.

Au-delà de la plantation d’arbres, nous sélectionnons soigneusement les espèces endémiques que nous plantons ainsi que leur période et leur lieu de plantation, et ce afin d’accélérer la restauration d’écosystèmes riches et biodiversifiés.

L’importance de la biodiversité

Une forêt composée d’arbres de différentes formes et tailles captera davantage la lumière du soleil et pourra donc absorber plus de carbone qu’une forêt en monoculture. Elle participera donc à la lutte contre le changement climatique, tout en favorisant la biodiversité en offrant une multitude d’habitats et de ressources alimentaires pour de nombreuses espèces animales et d’oiseaux.

Forêt de pins en monoculture

  • Sprinters: espèces à croissance rapide avec un taux initial de séquestration de carbone élevé .
  • Espèces non endémiques qui n’offrent pas les graines, fruits, nectars et ressources nécessaires à la biodiversité.
  • Faible résilience face aux risques naturels.
  • privilégiée par le marché du carbone

Forêts indigènes et biodiversifiées

  • Croissance plus lente au départ, mais avec un taux de séquestration de carbone équivalent à celui des pins avant 25 ans
  • Favorise la biodiversité, y compris de plantes, d’oiseaux et d’insectes
  • Plus grande résistance aux risques naturels tels que les incendies ou les cyclones
  • Séquestration de carbone à long terme et potentiel de biodiversité non mis en avant sur le marché du carbone

Bilan carbone négatif

Au-delà de la neutralité carbone, nous éliminons l’excès de carbone de l’atmosphère en plantant des arbres indigènes biodiversifiés à grande échelle, soit plus de 500 000 arbres à ce jour. Ceux-ci deviennent de véritables puits de carbone, tandis que nos écosystèmes florissants favorisent la biodiversité, ce qui est essentiel pour préserver durablement le climat. Nos forêts, zones humides et lacs absorbent plus de carbone dans l’atmosphère que nos activités en génèrent, y compris à travers la production de miel. Ce qui explique que nous présentions un bilan carbone négatif.

En plus des mānuka, kānuka et pōhutukawa pour la production de miel, nous plantons une grande variété d’arbres indigènes, dont les pūriri et les kauri, ces géants des forêts primaires néo-zélandaises, qui peuvent séquestrer et stocker le carbone pendant 1 500 ans. Nous transformons des écosystèmes menacés en habitats biodiversifiés florissants pour la faune et la flore locales. Grâce à nos efforts de conservation, nos espèces d’oiseaux locales sont passées de 20 à 71 (soit plus que dans de nombreux parcs nationaux), dont 25 sont menacées. Et les oiseaux de Nouvelle-Zélande font partie intégrante de la santé des écosystèmes.

Nos forêts, zones humides et lacs absorbent plus de carbone dans l’atmosphère que nos activités en génèrent, y compris à travers la production de miel. Ce qui explique que nous présentions un bilan carbone négatif.

Modèle circulaire

Notre vision se traduit à travers les activités que nous menons à Tahi. Notre marque de miel contribue à la valorisation de la biodiversité. Afin de rendre à la terre ce qu’elle nous donne, nous nous engageons à reverser 100 % de nos bénéfices dans nos projets communautaires ou de conservation en Nouvelle-Zélande.